Le lancement de la première lampe Philips Hue fut un événement déclencheur. Désormais la lumière ne servait pas seulement à éclairer une pièce sombre. elle devenait un objet connectée personnalisable. Une solution pour transformer un intérieur, apporter une ambiance, modifier une humeur. La couleur, l’intensité lumineuse sont modifiables.. Une panoplie de nouveau[...]
Le lancement de la première lampe Philips Hue fut un événement déclencheur. Désormais la lumière ne servait pas seulement à éclairer une pièce sombre. elle devenait un objet connectée personnalisable. Une solution pour transformer un intérieur, apporter une ambiance, modifier une humeur. La couleur, l’intensité lumineuse sont modifiables.. Une panoplie de nouveau équipement de Philips Eclairage est présentée dans la Maison Numérique connectée. Outre les lampes Hue, le nouveau Philips Hue lightstrip Plus, un ruban lumineux jusqu’à 10 mètres pour éclairer une pièce avec une lumière douce.
Nous avons aimé :
Le nouveau pont Philips Hue qui permet de faire fonctionner toutes les lampes Philips Hue avec la technologie Apple HomeKit.
Entreprise partenaire de la Maison Numérique Connectée : Philips Lightining.Chaque poussoir contrôle par radio (energy harvesting) le point lumineux. L'éclairage est contrôlé, modulé, en fonction de l'occupation des pièces.
Rôle majeur des capteurs multifonctions (éclairage + VMC + gestion des énergies)
Constat
Dans de nombreux bâtiments, les conditions d’éclairage sont souvent assez défavorables, et notamment dans les pièces situées au rez-de-chaussée. Ceci tient à différents facteurs, comme la densité urbaine et l’étroitesse des rues, la hauteur des constructions, le parcellaire étroit et les pièces profondes, ou encore la couleur sombre des enduits.
Il en résulte de mauvaises conditions d’éclairage naturel ayant à la fois des incidences sur le confort visuel et sur la consommation d’électricité. L’éclairage artificiel peut représenter jusqu’à 10% des dépenses énergétiques d’un logement, et plus de 20% dans le tertiaire.
État de l’art
La première étape consiste à créer les conditions favorables au confort visuel de l’utilisateur, permettant de limiter son recours à l’éclairage artificiel. Il faut notamment favoriser les apports en éclairage naturel, choisir si possible des teintes claires et des textures peu absorbantes pour les parois et les plafonds des locaux concernés, et privilégier l’éclairage direct.
Avant de choisir les systèmes d’éclairage, il convient de (re)définir les besoins réels des utilisateurs, en particulier les deux points suivants qui permettront de diminuer la puissance installée :
– le niveau d’éclairement, en évitant la tendance naturelle à sur-éclairer les locaux ;
– l’uniformité, en veillant toutefois à préserver le confort visuel des utilisateurs.
Enfin, lorsque les locaux accueillent différents types d’activités (ex. bureaux paysagers) ou locaux à occupation intermittente, l’éclairage artificiel doit être conçu en adoptant le principe de « lumière choisie » par l’utilisateur en : définissant les circuits de commande par usage et tâche réalisée au poste de travail, laissant la possibilité de régler le niveau d’éclairement, limitant le temps de fonctionnement aux seuls moments où le poste de travail est occupé et l’éclairage ambiant insuffisant.
L’efficacité des appareils d’éclairage est qualifiée par la performance de chacun de ses composants : l’efficacité lumineuse des sources (voir tableau ci-dessous).
Le rendement des accessoires optiques : suivant la qualité des matériaux du réflecteur et la présence ou non de verre diffuseur, le gain de rendement sur ce poste peut atteindre 30%.
Le choix des auxiliaires d’alimentation, notamment les ballasts des lampes fluo compactes et tubes fluorescents. Les ballasts électroniques (BE), outre la prolongation de la durée de vie des lampes d’environ 30% par rapport aux ballasts ferromagnétiques (BF), se caractérisent par une autoconsommation moindre par rapport à ces derniers (pour un tube fluorescent 36W, le modèle ferromagnétique consomme +5W contre +2W pour le modèle électronique à cathode chaude), le choix des auxiliaires de commande (actionneurs, détecteur de présence, cellule photoélectrique…), en raison de leur autoconsommation en veille.
Nature de la source Efficacité lumineuse (lm/W) IRC
Lampe halogène TBT 30-40
Lampe fluo compacte 45-75
LED froide 50-110
LED chaude 50-80
Tube fluorescent T8 60-80
Tube fluorescent T5 75-105
Pour l’exécution de tâches d’écriture et de bureautique courantes, un niveau d’éclairement de 300 lux sur le plan de travail a été jugé suffisant après concertation avec l’utilisateur. L’optimisation du rendement des sources et optiques des luminaires permet de diminuer par 2 la puissance totale installée par rapport à une solution d’éclairage standard.